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Premier sondage SSR : les personnes qui soutiennent la loi climat doivent se rendre aux urnes !

Dans le premier sondage SSR, 72% des participants disent oui à la loi climat. Ce sondage montre que la protection du climat est véritablement à l’ordre du jour et que cette thématique réunit la majorité de la population. Les campagnes, les villes et les agglomérations, toutes les régions linguistiques et tous les groupes d’âge se prononcent en faveur de la loi climat et de ses incitations qui permettent une protection efficace du climat. La très faible participation au scrutin est toutefois préoccupante.

Dans le sondage de la SSR paru aujourd’hui, une nette majorité de 72% se prononce en faveur de la loi climat. La loi climat est largement approuvée par les sympathisants et sympathisantes d’un large éventail de partis allant du PLR au PS en passant par les Vert·e·s. Seul l’électorat proche de l’UDC rejette la loi. Fait notable : 70% de la population des régions rurales approuvent également le projet.

Dans l’ensemble, les arguments en faveur de la loi convainquent clairement, tandis qu’aucun des arguments du NON ne trouve de majorité dans le sondage. Les arguments les plus convaincants en faveur de la loi climat sont qu’elle renforce la sécurité énergétique et qu’elle mise sur les incitations et l’innovation plutôt que sur des interdictions et des taxes. L’argument selon lequel la loi entraînerait une hausse des prix de l’électricité est mieux reçu par l’électorat proche du Centre et du PLR, ainsi que par les personnes apartisanes, mais ne réunit pas non plus une majorité.

Il s’agit maintenant de maintenir cette avance jusqu’à la ligne d’arrivée

Selon le sondage, si la votation avait eu lieu le premier mai, seules 2 personnes sur 5 auraient participé au vote. Cela aurait été nettement moins que la moyenne de 46% observée depuis de nombreuses années. Cela est inquiétant, particulièrement chez les femmes  qui ne seraient que 35% à voter, bien qu’elles soutiennent majoritairement la loi climat.

Pour la SSR, il est clair que l’issue du vote reste ouverte, car la dynamique de la campagne n’est pas encore claire. La campagne des opposants ne fait que commencer et elle met en danger ce OUI à la loi climat. Il faut donc s’attendre à ce que les voix pour le OUI diminuent encore sensiblement à cause de la campagne de l’opposition et des méthodes déloyales du camp du NON.

Au cours des quatre prochaines semaines, il sera donc d’autant plus important que la large alliance pour le OUI à la loi climat, qui compte désormais plus de 200 organisations, associations et entreprises, mobilise le plus grand nombre possible de personnes et les incite à se rendre aux urnes.

Altishofen, le 9 mai 2023 – L’agriculture suisse est particulièrement touchée par le
changement climatique. Les étés chauds et secs entraînent notamment des dégâts de plus en plus importants sur les cultures, une baisse des rendements agricoles et la raréfaction des ressources en eau. Avec la loi climat, nous protégeons ce qui compte. Cette loi prévoit pour la première fois des mesures d’adaptation et de protection contre les conséquences négatives du changement climatique. Un comité rural s’est formé pour dire OUI à la loi climat. Il a présenté ses arguments lors d’une conférence de presse à Altishofen.

Le 18 juin, la population suisse votera sur la loi climat. Cette loi vise à renforcer la protection du climat en fixant des objectifs à long terme, en investissant dans le remplacement des chauffages et dans l’assainissement des bâtiments, et en encourageant l’innovation. Sans nouvelles interdictions ni coûts supplémentaires, la Suisse atteindra ainsi progressivement la neutralité carbone. La loi est soutenue par une large alliance, allant du PLR jusqu’au PS en passant par les Vert.e.s.

Le monde agricole et les régions de montagne étant particulièrement touchés par les effets du changement climatique, de nombreuses organisations et personnalités se prononcent donc en faveur de la loi au sein du « Comité rural pour un OUI à la loi climat ». Parmi elles, l’Union suisse des paysans, IP-SUISSE, le Groupement suisse pour les régions de montagne, l’Union suisse des paysannes et des femmes rurales USPF et bien d’autres encore.

Il faut des mesures pour s’adapter et se protéger contre les effets négatifs du
changement climatique

« Le changement climatique touche très directement et de plus en plus le monde paysan.
L’année dernière, nous avons connu une sécheresse historique. L’eau a de nouveau dû être acheminée par hélicoptère dans les alpages pour abreuver le bétail », déclare Fritz Glauser, président de l’Union des paysans fribourgeois et de la Fédération suisse des producteurs de céréales : « Pour nous, paysannes et paysans, il est clair que nous devons agir maintenant. Un OUI à la loi climat est juste et crucial ».

Outre la sécheresse, le changement climatique entraîne également une multiplication des
phénomènes météorologiques extrêmes tels que la grêle, les inondations et les canicules. Et les conséquences sont coûteuses : « Les dégâts causés par les canicules et les pertes de récoltes se multiplient. Le changement climatique entraîne déjà des dégâts aux coûts élevés pour les régions de montagne et pour l’agriculture. « Plus nous attendons, plus les dégâts seront importants », déclare Priska Wismer-Felder, paysanne lucernoise et conseillère nationale Le Centre.”

C’est pourquoi le Conseil fédéral et le Parlement veulent prendre des mesures d’adaptation et d protection contre les effets négatifs du changement climatique grâce à l’article 8 de la loi climat Il s’agit notamment d’assurer un approvisionnement en eau suffisant tout au long de l’année et de prendre d’autres mesures de protection contre l’augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes. En outre, des mesures supplémentaires doivent être prévues pour les régions de montagne et les régions périphériques.

Protéger le climat, c’est saisir les opportunités

« La loi climat mise sur les investissements et la promotion de l’innovation, plutôt que sur des interdictions ou des taxes supplémentaires », souligne Priska Wismer-Felder. D’une part, la loi encourage le remplacement des chauffages fossiles à hauteur de 200 millions de francs par an pendant dix ans. D’autre part, les entreprises seront également soutenues sur la voie de la neutralité climatique.

Grâce à la loi climat, les entreprises bénéficient d’un soutien pour l’élaboration de feuilles de route visant à réduire leurs émissions. Elles profitent aussi de soutien financier pour promouvoir le développement de technologies innovantes. L’agriculture n’est d’ailleurs pas en reste. « En tant que société et acteurs du marché, nous avons la responsabilité de renforcer la protection du climat. IP-SUISSE rend visible les prestations réalisées pour la protection du climat et veut les valoriser avec ses partenaires. Grâce à la loi climat, nous recevons, en tant qu’agriculteurs, l’impulsion et le soutien nécessaires pour y parvenir ! », déclare Christian Schürch, vice-président d’IP-SUISSE.

« Chaque année, nous dépensons encore près de 8 milliards de francs pour acheter du pétrole, du gaz et du charbon à l’étranger », explique Meinrad Pfister, agriculteur et exploitant d’une installation de biogaz dans sa ferme Wiggerhof à Altishofen: « Avec notre installation de biogaz et solaire, nous contribuons à nous libérer de cette dépendance. Comme de nombreuses autres exploitations agricoles innovantes, il est clair pour nous que nous voulons faire partie de la solution ! C’est pour cela que nous nous engageons ici, dans notre ferme et que nous soutenons le OUI à la loi climat ».

Un large soutien dans les régions rurales et de montagne

Selon le premier sondage Tamedia concernant la votation sur la loi climat, 54% de la population rurale soutient la loi. Le comité rural veut encore renforcer cette majorité. Les personnes intéressées peuvent s’inscrire sur le site web du comité: oui-loi climat.ch/comites/rural/

Images/photos

Veuillez trouver les photos de la conférence de presse sous le lien suivant : vkch.ch/photosCP

Les personnes suivantes se tiennent à disposition pour tout renseignement :

Meinrad Pfister, agriculteur et exploitant d’une installation de biogaz, Wiggerhof Altishofen, meinrad.pfister@solevia.ch, 079 916 00 41 (DE)

Priska Wismer-Felder, paysanne et conseillère nationale, Le Centre (LU) priska.wismer@parl.ch, 076 458 37 78

Christian Schürch, vice-président IP-SUISSE
schuerch-meister@bluewin.ch, 079 299 36 10 (DE)

Fritz Glauser, président de l’Union des paysans fribourgeois et président de la Fédération suisse des producteurs de céréales
079 702 05 44 (DE/FR)

Michèle Andermatt, co-responsable de la campagne
michele.andermatt@klimaschutz-schweiz.ch, 079 671 28 54 (DE/FR)

Marie Vanolli, porte-parole
marie.vanolli@klimaschutz-schweiz.ch, 079 362 33 19 (FR)

Dans le premier sondage de Tamedia AG sur les votations du 18 juin, 58% des personnes sondées indiquent approuver la loi climat, contre 38% qui la rejettent. La loi climat démarre ainsi la campagne de votation avec une longueur d’avance. Ce sondage montre que la protection du climat est au cœur des préoccupations de la population suisse. Toutefois, la campagne de votation ne fait que commencer. Cette avance doit être maintenue jusqu’à la ligne d’arrivée. Au cours des 45 jours à venir, il sera crucial de convaincre les soutiens de la loi climat de se rendre aux urnes.

Le projet recueille une majorité dans toutes les catégories démographiques représentées par le sondage : toutes les régions linguistiques et toutes les tranches d’âge se prononcent en faveur de la loi climat. Les femmes y sont particulièrement favorables (60%).

Intentions de vote

Les intentions de vote partisanes sont à l’image de la large alliance qui s’est déjà engagée en faveur de la loi au Parlement. Chez les sympathisants des Vert·e·s, des Vert’libéraux, du PS jusqu’au Centre, le soutien à la loi est très élevé. Seuls les partisans de l’UDC indiquent rejeter la loi.

Dans ce sondage, 49% des personnes proches du PLR indiquent soutenir la loi climat. Il est toutefois difficile de classer ce résultat à l’heure actuelle, car le PLR ne prendra position que le samedi 5 mai. On peut toutefois s’attendre à un OUI, car la conférence des présidents de partis avait recommandé le OUI le 20 janvier dernier.

Il est fréquent que le nombre de voix favorables diminue au fur et à mesure de la campagne. Il est donc fort possible que le camp du OUI perde du soutien lors du prochain sondage Tamedia.

Par rapport à la loi sur le CO2 sur laquelle la Suisse a voté il y a deux ans, la loi climat démarre avec une avance plus marquée. C’est surtout dans le camp bourgeois que le soutien est nettement plus élevé, notamment chez les partisans du Centre (14% de plus). De plus, ce ne sont pas seulement les habitants des villes (64%), mais aussi ceux des agglomérations (59%) et des zones rurales (54%) qui se prononcent en faveur de la loi.

La campagne ne fait que commencer. Elle va s’intensifier des deux côtés, de même que la couverture médiatique.

Pour que le camp du OUI franchisse la ligne d’arrivée en gardant son avance, il faut maintenant convaincre les indécis et s’assurer que les soutiens de la loi climat se rendent aux urnes. La campagne d’affichage et d’annonces démarre bientôt et les activités de mobilisation se multiplient.

La campagne pour le OUI peut compter sur le soutien d’une large alliance de femmes et d’hommes politiques, allant du PLR aux Vert·e·s, ainsi que sur l’appui de plus de 200 organisations, associations et entreprises issues de l’économie, de l’agriculture, du tourisme, de la santé, de la science et de la société civile. Les membres des 37 comités locaux sont eux aussi dans les starting-blocks pour la dernière ligne droite de la campagne de votation.

18 avril 2023 – En tant que pays alpin, la Suisse est particulièrement touchée par le réchauffement climatique. La température moyenne augmente, nos glaciers fondent et les étés sont marqués par des épisodes de sécheresse. Avec la loi climat, la Suisse prend ses responsabilités vis-à-vis de la population, de l’environnement et de l’économie. Lors de sa conférence de presse à Berne, la campagne interpartis pour le OUI à la loi climat, qui bénéficie d’un large soutien, a présenté ses arguments en faveur de la loi climat.

Le 18 juin, la population suisse votera sur la loi fédérale sur les objectifs en matière de protection du climat, sur l’innovation et sur le renforcement de la sécurité énergétique (LCl – Loi climat), qui constitue le contre-projet indirect à l’initiative pour les glaciers. Au Parlement, une majorité composée du PLR, du Centre, du PEV, du PVL, du PS et des Vert·e·s a clairement approuvé la loi climat. Plus de 200 organisations, faîtières et entreprises ont déjà rejoint la campagne de soutien à cette loi.

Avec le slogan « Protégeons ce qui compte », la campagne pour le OUI met l’accent sur des valeurs fondamentales et ancestrales de notre pays alpin : la protection de la population, des conditions nécessaires à la vie et de la nature.

Elle s’y est engagée avec 195 États dans le cadre de l’Accord de Paris sur le climat, et la loi climat permet à la Suisse de mettre en œuvre cet objectif. « Avec la loi climat, nous fixons des objectifs climatiques clairs et prenons nos responsabilités pour les générations actuelles et futures », explique le conseiller national du Centre, Stefan Müller- Altermatt.

L’inaction aggrave les dommages climatiques et leurs répercussions financières

En Suisse, les conséquences du changement climatique se font déjà nettement sentir : « Les régions alpines sont particulièrement touchées par le réchauffement climatique. En Suisse, les températures moyennes ont augmenté deux fois plus qu’au niveau mondial. L’année dernière a été l’année la plus chaude jamais enregistrée en Suisse », explique Balthasar Glättli, président des VERT·E·S.

Aujourd’hui déjà, le coût annuel des dommages climatiques se chiffre en milliards. Lilian Studer, conseillère nationale et présidente du PEV, ajoute : « Plus nous attendons, plus les dommages seront graves. Et plus les mesures que nous devons prendre pour protéger les conditions nécessaires à la vie seront coûteuses ».

Encourager le remplacement des chauffages et l’assainissement des bâtiments


« Plutôt que de créer des nouvelles interdictions et taxes, la loi climat mise sur des investissements et la promotion de l’innovation. Cela profite tout autant aux entreprises qu’à la population », explique le conseiller national PVL Martin Bäumle.

Pendant dix ans, la loi encourage le remplacement des chauffages à hauteur de 200 millions de francs par an : « Les propriétaires sont soutenus financièrement lorsqu’ils remplacent leurs anciens chauffages à mazout ou à gaz par des systèmes de chauffage renouvelables et moins chers à l’usage car plus efficients. Cette baisse des charges liées à l’énergie soulage également les locataires », explique Mattea Meyer, conseillère nationale et coprésidente du PS Suisse.

Chaque année, près de 8 milliards de francs sont encore dépensés à l’étranger pour l’achat de pétrole, de gaz et de charbon. « Avec la loi climat, nous nous libérons de notre dépendance vis-à-vis des importations de pétrole et de gaz depuis l’étranger. Nous protégeons ainsi le climat et créons de la valeur ajoutée en Suisse », explique la conseillère nationale PLR Jacqueline de Quattro.

Protéger le climat, c’est saisir les opportunités

En plus des mesures pour le remplacement des chauffages, il convient d’accompagner les entreprises sur la voie de la neutralité carbone. Grâce à la loi climat, les entreprises sont soutenues dans l’élaboration de feuilles de route permettant de réduire leurs émissions ainsi que pour la promotion de techniques innovantes.

Pour Ruedi Noser, conseiller aux États PLR, il est donc clair que « la loi climat prévoit les bonnes incitations pour l’innovation et les nouvelles technologies. Cela crée de la valeur ajoutée en Suisse et ouvre des marchés importants pour l’exportation».

Le 18 juin, il s’agira de protéger ce qui compte. Plus de 2 000 citoyennes et citoyens montrent
déjà, avec leur propre affiche de vote sur mein-plakat.klimagesetz.ch/fr, pourquoi la protection
du climat est si urgente à leurs yeux.

Contacts:


Martin Bäumle, conseiller national PVL (ZH)
martin.baeumle@parl.ch, 079 358 14 85


Jacqueline de Quattro, conseillère nationale PLR (VD)
jacqueline.dequattro@parl.ch, 079 305 51 90


Balthasar Glättli, président et conseiller national des VERT·E·S (ZH)
nationalrat@glaettli.ch, 076 334 33 66


Mattea Meyer, co-présidente et conseillère nationale PS (ZH)
mattea.meyer@parl.ch, 079 101 68 90


Stefan Müller-Altermatt, conseiller national, Le Centre (SO)
stefan@mueller-altermatt.ch, 076 332 15 26


Ruedi Noser, conseiller aux Etats PLR (ZH)
ruedi@noser.com, 079 500 70 44


Lilian Studer, présidente et conseillère nationale PEV (AG)
lilian.studer@parl.ch, 076 575 24 77


Sophie Fürst, co-directrice de campagne (DE/FR)
sophie.fuerst@klimaschutz-schweiz.ch, 079 321 88 74